Le texte a été paraphé lors d’une réunion rassemblant les directeurs de tous les hôpitaux de Kinshasa, destinée à réaffirmer que l’accès aux soins d’urgence doit primer sur toute considération financière, rapporte la cellule de communication du ministère.
Pour garantir cette exigence, chaque établissement devra désormais disposer d’une marge de péréquation spécifique pour les cas urgents. Par ailleurs, une taxe de 2 % sur les produits importés, à l’exception des denrées alimentaires, a été instaurée par décret de la Première ministre afin de financer la modernisation des soins et des infrastructures.
Le ministère précise enfin qu’un numéro d’urgence, le 151, est désormais disponible pour signaler tout cas critique et permettre une intervention rapide.
Gloire MALUMBA.K

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