Le ministère provincial de la santé, a noté au total 65 décès de la Mpox qui ont été enregistrés en 2024 au Sud-Kivu. Et avec 770 cas suspects  détectés à ce jour. Au regard de ces statistiques, la province reste l’épicentre de la variole du singe en RDC.

Par ailleurs, sur les 34 zones de santé que compte le Sud-Kivu, 33 sont touchées par la Mpox. La zone de santé de Miti-Murhesa vient en tête, suivie de celle de Nyantende.

Au regard de ces chiffres, le ministère provincial de santé a exprimé la volonté de poursuivre avec les efforts dans la prise en charge des malades pour revoir la tendance à la baisse en 2025.

Pour sa part, chargé de communication à la division provinciale de la santé dans cette région, Dr Claude Bahizire, a indiqué que, dans l’ensemble avec les cas des malades où ils font des examens des laboratoires en tout cas la Mpox est confirmé, a-t-il dit.

À l’en croire, par rapport au nombre de cas des examens de laboratoire, ils ont fini avec  75% de positivité.  Il a par ailleurs noté qu'il y a quand-même diminution, tout en espérant que cette dernière va continuer et ils  peuvent même gérer la situation pour l’année 2025.

« Pour ce qui est de l’année 2024, nous avons clôturé avec plus de 19 000 cas, autour de 19 786 cas. On a perdu au moins 65 personnes. Par rapport toujours à 2024, il y a eu quand-même des guéris, ce qui est encourageant, plus 18 500 guéris»,  a détaillé le chargé de communication à la division provinciale de la santé.

Cependant, selon lui, dans toutes les zones de santé, la courbe a changé d’allure, il y a quand-même une diminution du nombre de malades.


Gloire MALUMBA.K